Si le confinement est nécessaire, les secteurs les plus essentiels à la vie du pays doivent poursuivre leur activité. Nous demandons des consignes claires.
Deuxième proposition : une mise en œuvre décentralisée. Le salut ne viendra pas de Paris. L’affaire des masques le prouve : l’embolie est due à une bureaucratie qui veut tout diriger. La décentralisation et la déconcentration dans chaque département, autour des préfets, autour des élus, doivent prévaloir.
Troisième proposition : l’anticipation. Nous avons trop souvent eu le sentiment que nous avions un coup de retard : sur les masques, sur le confinement, mais aussi sur le dépistage massif.