Il y a en effet une petite composante « temps de calcul ». Si la distance d'impact est augmentée, une autre gamme de modèles un peu plus coûteux en temps de calcul va être mise en oeuvre. On a des capacités mobilisables, mais il y a également cette composante.
Le principal problème reste cependant la qualification correcte du terme source, dans une logique de prélèvements et d'analyse des expositions. On pourrait très bien calculer relativement rapidement des coefficients de transfert, mais hors du cadre de cette logique.