J’ai bien noté votre réponse, monsieur le secrétaire d’État.
N’oubliez pas les acteurs culturels, même s’ils ne relèvent pas de votre portefeuille. Il est de notre devoir, au Sénat, de relayer la détresse de ces professionnels qu’on empêche aujourd’hui de travailler et de leur apporter une lueur d’espoir.
En tant qu’élue de Paris, j’y suis particulièrement sensible alors que la mairie de Paris n’y accorde à ce jour aucun intérêt.