Pour m'être rendue dans des prisons où étaient enfermés des auteurs de violences sexuelles, j'ai pu constater que, même s'ils ne sont pas volontaires au départ, le fait d'être amenés à effectuer des stages les pousse à une réflexion, ce qui est positif.
Je voudrais revenir sur les appels que vous recevez et vous poser également la question de la répartition géographique des appels et de la manière dont vous orientez les personnes qui vous contactent. Avez-vous des relais dans chaque département, de façon à ce que ces personnes soient prises en charge le plus rapidement possible ? Je souhaiterais également savoir si, parmi ces appels, certains concernent des violences sur des mineurs ? Si c'est le cas, comment orientez-vous ces appels ?