Monsieur le secrétaire d’État, vous l’avez bien compris, il ne s’agissait absolument pas de stigmatiser, mais il s’agissait plutôt de protéger les populations dans leur propre intérêt.
Malgré tout, quand on a été élu de terrain, on sait très bien que ce ne sont pas les arrêtés d’interdiction ni les guides de bonnes pratiques qui servent en pareilles circonstances. Quand les gens du voyage arrivent, il faut aller discuter avec eux, comme vous l’avez rappelé, les yeux dans les yeux, d’homme à homme si je puis dire !