Vous avez évoqué une perte de chiffre d'affaires de 23 millions d'euros. Quel est le coût réel de la crise, qui ira forcément au-delà ?
Le sauvetage des établissements français à l'étranger est indispensable à court et long terme, surtout dans un système très concurrentiel. Le troisième trimestre sera crucial. Les familles font face à de grandes difficultés. Vous avez évoqué des recours gracieux de 10 à 15 millions d'euros, et une baisse des inscriptions à l'échelle du réseau de 5 %. Avez-vous envisagé un gel des frais de scolarité ? N'est-il pas nécessaire d'envoyer un signal fort aux établissements conventionnés ? Ne pouvons-nous pas craindre une série de déconventionnements en chaîne ?
Dans quels domaines seront effectuées les économies annoncées ? Quel sera l'impact sur les détachements d'enseignants ?