Dès lors, nous étions confrontés à un choix cornélien : devait-on privilégier l’efficacité sanitaire et un certain nombre de garanties – à ce sujet, je le répète, je ne crois pas qu’il existe des fuites de données – ou notre souveraineté ?
Cette question nous a occupés très longtemps. Finalement, après avoir discuté avec un certain nombre de scientifiques et de chercheurs en intelligence artificielle, pour comprendre jusqu’au bout ce que nous pouvions faire et ne pas faire, nous avons choisi de passer un contrat avec la société Microsoft, qui était la mieux-disante en termes technologiques