Après ce que nous avons vécu à la fin de l'année dernière avec Jean-Paul Delevoye, n'avez-vous pas le sentiment que la HATVP n'a pas complètement réussi sa mission ? Ne craignez-vous pas que cette difficulté ne s'aggrave avec ses nouvelles compétences relatives à la fonction publique ?
J'ai été étonné de vous entendre dire que la première mission de la HATVP avait été de lutter contre la corruption. J'avais plutôt senti qu'elle relevait du pari de la transparence pour rétablir la confiance.
Avez-vous l'impression que la HATVP a les outils pour contrôler les représentants d'intérêts ? Comment évaluez-vous l'évolution de la déontologie, tout au long de votre carrière, sur les aller-retour entre secteurs privé et public ?