J'apprécie votre franc-parler et vos propos clairs et précis.
Je suis très préoccupée par la trop courte durée des stages de responsabilisation destinés à faire prendre conscience aux auteurs de violences faites aux femmes de la gravité de leurs méfaits et des conséquences de ceux-ci pour les victimes. Souvent, la durée de ces stages est comprise entre une demi-journée et quelques jours. Selon vous, quatre à six mois sont nécessaires. Cette différence explique-t-elle les fréquentes récidives constatées chez ces auteurs ? Par ailleurs, la durée excessivement brève de ces stages résulte-t-elle principalement de raisons de coût, notamment pour les auteurs ?
Je vous félicite de ce que vous avez développé à Arras en partenariat avec des élus locaux impliqués dans un combat commun !