Concernant les fonds régionaux que vous avez évoqués, les EPCI ont-ils apporté leur cofinancement spontanément ou ont-ils exprimé des réticences ? Les limites fixées à 5 000 et 10 000 euros ne conviennent pas nécessairement à tous les types d'activités. N'est-ce pas là une contrainte trop forte ?
Vous avez également évoqué les questions de la rémunération des apprentis et de la formation professionnelle. Un grand nombre d'apprentis aura sans doute de grandes difficultés à trouver des entreprises.
L'orientation des élèves, qui est désormais une compétence régionale, ne devrait-elle pas figurer dans les CPER ?
Qu'en est-il des prêts garantis par l'État ? Les entreprises éprouvent-elles des difficultés à y accéder ? Faudrait-il permettre aux régions d'entrer au capital d'entreprises considérées comme stratégiques ? Dans l'affirmative, le cadre juridique actuel vous paraît-il adapté ?