À la Fondation Orange, nous avons lancé des espaces de discussion avec nos partenaires, avec les missions locales et les associations, pour étudier comment accélérer et adapter nos programmes, car la crise récente a fait émerger des problématiques : la connexion, certes, mais surtout le manque d'équipement. On a vu combien les publics éloignés en souffraient, nous avons donc augmenté nos appels à projets dans ce domaine et dans l'accompagnement, avec nos partenaires en mécénat de compétences et nos médiateurs numériques. Nous misons donc sur une offre globale et nous travaillons depuis un mois à monter des groupes de travail collectifs et participatifs avec nos délégués par régions et les acteurs locaux, qui sont mis à mal par la crise, afin de maintenir notre soutien et d'adapter nos programmes. De même, le monde de l'autisme nécessite des programmes structurants différents pour aller plus loin dans l'accompagnement.