S'agissant de l'observation faite par notre collègue Anne-Catherine Loisier, je la rejoins totalement.
Il y a une dizaine d'années, j'avais moi-même connu de lourdes difficultés pour faire aboutir, dans le cadre d'un regroupement d'établissements scolaires, un projet de chauffage par géothermie et aquathermie. Nous étions dans l'incapacité de trouver des bureaux d'études suffisamment compétents pour bien nous conseiller ; le conseil technique n'était pas à la hauteur. Je crois que ces difficultés subsistent encore.
Pour répondre à cette situation, il faut développer les formations, les labels et les contrôles ainsi qu'un soutien financier car, lorsque l'on s'engage dans la voie de nouvelles technologiques, on essuie parfois les plâtres ! Nous approfondirons donc cet enjeu dans nos préconisations.