Monsieur le sénateur Assouline, il n’y a pas de loi du silence : il n’y a que la loi. La police et la gendarmerie, chaque jour, chaque nuit, au quotidien, s’engagent pour protéger et pour servir la loi.
Policiers et gendarmes le font avec honneur, avec dignité, avec un total sens de l’engagement. Je vous le dis, et vous l’avez rappelé, il n’y a pas de violence dans la police, pas de racisme policier, mais il existe des femmes et des hommes qui peuvent fauter.
Nous devons, sur ce sujet, être particulièrement exigeants, et je le suis, monsieur le sénateur ! En effet, depuis vingt mois, j’ai l’honneur d’être le premier défenseur des flics de France.