Mme Anne-Catherine Loisier. Je salue bien évidemment moi aussi, monsieur le ministre, la réaction des services de la préfecture et des forces de l’ordre. Cependant, si nous n’avons pas eu à déplorer de plus graves conséquences, c’est parce que ces individus, Tchétchènes et autres, sont partis d’eux-mêmes au bout de trois jours. Qu’en serait-il s’ils étaient restés ? Nous devons y réfléchir.