Merci beaucoup d'avoir partagé avec nous le fruit de vos travaux. Vous avez évoqué l'existence de groupes criminels guyanais dans le détail et le demi-gros. Pouvez-vous estimer la part du flux financier qui revient à la Guyane ? Quelles seraient les priorités à privilégier dans une stratégie de fragilisation de ces groupes criminels : une réponse pénale dissuasive ou une augmentation significative des saisies ?