Nous étions présents à ses obsèques, le 6 mars, à Mende, avec le président Requier, avec la présidente de la commission des affaires économiques, Sophie Primas, et avec d’autres de nos collègues encore. Ce fut une émouvante cérémonie d’adieu, à laquelle assistaient nombre d’habitants de la Lozère et de personnalités politiques et d’élus de son département. Didier Guillaume, présent aujourd’hui et que je salue, lui a rendu un hommage empreint à la fois d’affection profonde et de grand respect.
Alain Bertrand a attaché son nom à « l’hyper-ruralité ». Souvenez-vous comme il prononçait ce mot avec sa pointe d’accent que je ne saurais imiter, moi qui suis du nord de la Loire.