J’ai bien entendu votre réponse, madame la ministre, mais je ne vois pas comment on pourrait réparer a posteriori les perturbations consécutives à un sinistre industriel. Prenons l’exemple d’un fleuve : l’eau court !
Ma question était plus précise. Contraindrez-vous les industriels à organiser une politique concernant la rétention de l’eau et l’eau d’extinction ? Ces volumes sont en effet très importants ; je n’en suis pas revenu moi-même… Il faut donc pouvoir disposer de darses et d’étangs de rétention étendus.