Vous évoquez l'importance de la diplomatie sanitaire et environnementale dans les rencontres à venir. Sur quels points la diplomatie française prendra-t-elle appui pour faire valoir des avancées ? Le bilan de la COP 15 montre que les objectifs d'Aichi n'ont pas tous été atteints ; sur quels points progresser ? Par ailleurs, nous avons auditionné la semaine dernière Rémy Rioux, directeur général de l'Agence française de développement (AFD) ; quelle articulation y a-t-il entre la diplomatie environnementale et notre diplomatie financière ? Peut-on imaginer un système de bonus-malus que nous pourrions signer dans le cadre de conventions par rapport à des objectifs chiffrés ?