J'ai apprécié dans votre exposé la prise en compte de la dimension globale et cyber de la désinformation. La commission a lancé une action lors de la cyberattaque contre les hôpitaux de Paris au début de la crise sanitaire. Nous avons notamment identifié l'absence d'une force de réaction cyber rapide, pour contrer les actions de désinformation, qui visaient en particulier le Parlement, et plus généralement, les systèmes démocratiques. Leur effondrement est en effet visé par certains Etats. Des dizaines de milliers de blogs ont ainsi été mis en ligne par la Russie en Afrique récemment. Notre armée y est confrontée à la désinformation. Êtes-vous satisfait par la réponse que nous apportons actuellement dans ce domaine ? Quelles améliorations pourraient être envisagées ?