Le champ d'études attendu pour septembre est étroit et n'a pas vocation à répondre à l'ensemble des questions environnementales des réseaux qui est effectivement un travail de longue haleine. Elle porte spécifiquement sur l'accompagnement du déploiement de la 5G.
Sur la partie de l'impact environnemental du numérique, nous nous inscrivons dans un travail auquel l'Arcep et l'Ademe seront associés. Ils auront pour but notamment d'objectiver les choses. Peut-être que votre recommandation de création d'un observatoire entrera dans les recommandations de cette mission. Elle se basera certainement sur les travaux qui ont déjà été menés au Sénat.
Le périmètre des travaux de l'Arcep et de l'Ademe portera sur l'impact des réseaux, en tenant compte de la 2G, la 3G, la 4G, la 5G et la fibre. Nous attendons d'une part, une objectivation, et d'autre part des recommandations sur les trajectoires pour permettre d'être le plus agressif possible sur la réduction tout en étant le plus ambitieux possible sur les effets positifs comme évoqués par Nicolas Guérin. M. Soriano en parlera en sa qualité de président de l'Arcep.