Il y a des travaux interministériels conduits sur l'ensemble de l'impact environnemental du numérique. Le mandat confié à l'Arcep et à l'Ademe, au regard des compétences de chacun, est plus centré sur les réseaux, car c'est là que nous avons aujourd'hui la compétence. Néanmoins, nous sommes ouverts pour déborder sur les terminaux et sur les usages qui contribuent à la consommation énergétique. Tous ces éléments devront être intégrés dans le champ d'une feuille de route globale gouvernementale, qui a fait l'objet d'une saisine du Conseil national du numérique, sur laquelle nous pouvons espérer dans les prochaines semaines commencer à esquisser les grandes lignes.