Je vous remercie d'avoir mis l'accent sur le tourisme et sur la Nouvelle-Calédonie. Lorsqu'on lit les documents statistiques sur le tourisme, une destination qui réussit prend en général un tiers de sa clientèle dans son bassin géographique. Vous avez bien dit que la part du tourisme affinitaire et les relations avec la métropole ne comptaient que pour un tiers. Cela me rappelle un rapport que j'avais fait sur la Guadeloupe, qui soulignait que pour être rentable sur le long terme, le tourisme doit être diversifié.
La crise ne doit être vécue comme entièrement négative mais doit être aussi une opportunité de pointer les forces et faiblesses du développement économique des outre-mer. Nous devons notamment concilier satisfaction de la demande et consommation responsable des produits.