Philippe Juvin, chef du service des urgences de l'Hôpital européen Georges-Pompidou :
Tout à fait, c'est l'une des directions à prendre, et cela fait partie du plan « grand péril » que j'appelle de mes voeux. Comme pour les ARS, la coopération entre le public et le privé a fonctionné très différemment d'un endroit à l'autre.