Monsieur le rapporteur général, vous conviendrez que je suis avec vous dans l’hémicycle : je n’ai donc guère plus le temps que vous de me tenir informé en regardant la télévision ou en lisant Le Figaro, sauf pour ce que j’ai prononcé auparavant.
Vous justifiez les dispositions de cet amendement par le changement de contexte. Je ne peux que saluer votre capacité divinatoire puisque vous aviez déposé un amendement identique dans le projet de loi de finances, alors que la situation était loin d’être celle que nous connaissons aujourd’hui.