Ainsi que j’ai eu l’occasion de le rappeler, la crise ne justifie pas une remise en cause de la péréquation, notamment en 2020, alors que les recettes sont compensées.
Au demeurant, je trouve un peu audacieux de prétendre mettre fin à la montée en puissance de la péréquation en faisant payer la différence par l’État. C’est s’acheter une bonne conscience à bon compte, sur le dos de l’État !
Le Gouvernement émet donc un avis défavorable sur cet amendement.