Comme les auteurs des amendements l’ont dit, la situation des Français entrepreneurs à l’étranger est très variable ; elle peut être dramatique. Ils bénéficient d’aides locales dans certains pays et n’ont droit à rien dans d’autres.
Pour être franc, je n’ai pas de connaissance suffisamment précise de cette situation, mais le Gouvernement peut peut-être nous éclairer.
Cependant, je m’interroge sur le caractère opérationnel de ces amendements. Compte tenu du montant des crédits et du nombre de Français qui sont à l’étranger et y exercent des activités professionnelles très variées, serait-on dans une logique d’aide réelle ? Des fonds sociaux ne seraient-ils pas préférables pour permettre de faire face à cette période extrêmement difficile ?