La fonction de président de la CADA n'étant pas une activité à plein temps, je garderai les fonctions d'assesseur à la première chambre du contentieux du Conseil d'État, qui est mon métier de base. Dans la mesure du possible, si je suis désigné, je souhaiterais conserver la présidence du conseil d'administration des deux écoles, c'est-à-dire l'École nationale supérieure de la police de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or et Sciences Po Grenoble, où j'ai été formé. Cela correspond à trois ou quatre réunions par an. En revanche, je laisserai, à regret, la présidence d'une chambre de la Cour nationale du droit d'asile (CNDA), fonction tout à fait passionnante, mais qui est assez prenante.