Comme je vous le signalais au début de mon intervention, les débats ne font toutefois que commencer.
Nos discussions permettront, à n’en pas douter, d’améliorer encore ce projet de loi. Je tiens toutefois à vous signaler, dès à présent, que certaines des propositions du Sénat semblent difficiles à accepter au regard de l’état d’avancement de certains chantiers de modernisation de notre système de soins.
C’est le cas, par exemple, de l’amendement du rapporteur général, qui vise à ramener au 1er juillet 2012, au lieu du 1er janvier 2013, la mise en œuvre de la facturation directe à l’hôpital.