Je souscris aux propos de Jean-François Eliaou sur Kawasaki. Maintenant que le mot est entré dans le débat public, nous ne pouvons le remplacer simplement par PIMS. Nous pouvons toutefois inclure une note de bas de page en émettant des réserves sur la dénomination et en parlant de PIMS. La note doit toutefois mentionner Kawasaki.
Pendant les épidémies de SRAS et de MERS, les enfants ont effectivement été moins touchés. La contagiosité des coronavirus est donc peut-être différente de celle de la grippe.
J'ai l'impression que la bonne prise de position consiste à dire que les indicateurs encourageants permettent de relâcher les règles de sécurité, sans laisser pour autant la porte ouverte à un retour à la normale. Tous les signes montrent qu'il est possible de relâcher la pression sur le retour à l'école.