Nous sommes habitués à une communication faite de superlatifs, mais aujourd’hui, à mon sens, nous avons besoin d’une vision globale pour les universités.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’il règne, surtout, une grande inquiétude pour la rentrée prochaine. Le Sénat sera au rendez-vous pour voter des crédits pour votre ministère, comme il l’a été pour les repas à un euro. Nous avons besoin de soutenir nos universités, leurs personnels et les étudiants.