Madame la ministre, vous n’avez commencé à répondre à ma question qu’à la toute fin de votre intervention !
À l’heure actuelle, les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air sont mises à l’écart. §Elles vous fournissent certes des informations, mais elles ne sont pas en première ligne, aux côtés de l’État, dans le temps de la communication. Vous levez les yeux au ciel : il s’agit pourtant d’un constat bien réel dont fait état le rapport de la commission d’enquête. Pour connaître également un peu ce dispositif, je puis vous garantir qu’il est temps de vous ressaisir !