J'ai bien noté les propositions de Mme Josette Borel-Lincertin, présidente du conseil départemental de la Guadeloupe. Puisque vous citez le cas de la Guyane, j'ai retenu de l'audition du président Rodolphe Alexandre, que dans les cinq prochaines années, la Guyane devra disposer d'un statut. Il souhaite la mise en place d'un statut sui generis, permettant à la Guyane de conserver les acquis tout en évoluant vers davantage de transferts de compétences. En résumé, « je sais ce dont je dispose au travers de l'article 73 et je ne sais pas ce que je trouverai dans l'article 74 ».