Nous proposons une augmentation de 12,3 % en volume, soit 3,3 milliards d'euros sur deux ans au lieu du 1,1 milliard prévu. L'effort est nécessaire durant les deux premières années. En réduisant la trajectoire, l'effort peut être plus fort à ce moment-là.
Le plan de relance concerne la relance. La difficulté budgétaire est présente, concernant la recherche. Je propose que nous demandions à la ministre d'utiliser des crédits du plan de relance au titre du programme d'investissements d'avenir (PIA) par exemple, pour abonder ces deux premières années. Après tout, la recherche, c'est de la relance.