Si jamais l’ambition européenne n’est pas au rendez-vous en décembre prochain, nous en reparlerons.
Par ailleurs, si, à certains moments, nous pouvons nous mettre d’accord et progresser ensemble, comme le montre la proposition de loi que nous examinons aujourd’hui et comme nous l’avons vu sur d’autres textes, repousser l’application d’un texte à 2023 ou 2024 ne me semble pas, par respect pour la loi, la meilleure façon de procéder.
Sur ce sujet structurant, je vous confirme que nous souhaitons attendre les propositions de la Commission européenne qui semblent aller dans le bon sens. Au regard des premières publications, ces propositions paraissent extrêmement ambitieuses. Finalement, si elles n’atteignent pas le bon niveau, nous aurons l’occasion d’en reparler tous ensemble.
Mesdames, messieurs les sénateurs, je ne tiens pas un autre discours que celui que je vous ai tenu lors de l’examen de la proposition de loi de la présidente Primas.