Madame la ministre, votre réponse est pour le moins très évasive ! Elle montre que vous n’êtes pas très sensible à l’urgence sociale qui se fait jour aujourd’hui.
J’aurais aimé une réponse à la fois précise et concrète pour tous les gens qui viennent frapper à la porte de nos centres communaux d’action sociale ou des associations, voire qui n’osent même plus y entrer, parce qu’ils sont dans des états de détresse absolue.