C’est pourquoi je voudrais insister sur un point qui est également essentiel : le droit et le fonctionnement des institutions.
Des institutions malmenées par les hommes mis en place par les États occidentaux, notamment par le premier d’entre eux, des institutions qui discréditent l’idée même de démocratie, des institutions plaquées de façon artificielle sur la réalité afghane.
Le grand rendez-vous, ce sont les élections législatives de 2010. Nous devons faire autrement. Nous devons faire passer un message de fermeté sur les conditions de tenue de ces élections et accepter d’ouvrir réellement le débat avec la société civile afghane. De tout cela, je vous remercie.