Un modèle à deux ou trois rapporteurs me semble également une bonne solution. Nous étions trois, avec Nadia Sollogoub et Fabienne Keller, à cosigner le rapport de 2018 intitulé « Inventer les solidarités de demain face à la nouvelle donne générationnelle ».
Sans pour autant faire un « méta-rapport », je pense que nous gagnerions à nous interroger sur ce que signifie la prospective aujourd'hui, dans un monde de plus en plus incertain. Comment nos travaux pourraient-ils s'articuler avec ceux du Haut-Commissaire au Plan récemment nommé par le Président de la République ? Nous devrions également formaliser une procédure permettant de proposer les sujets des rapports, et travailler sur notre organisation. Tout ceci pourrait faire l'objet d'un séminaire, ou d'une formation interne.