Certes, mais la situation est un peu différente dans la mesure où la FNSF a non seulement créé ce numéro d'urgence, mais aussi, en quelque sorte, le métier d'écoutante. Sur le plan juridique, est-on certain que l'appel d'offres est la seule option envisageable ? A-t-on envisagé d'autres formules qui auraient permis de préserver ce que la FNSF a construit depuis 1992 ?