Depuis 2012, la France a été tragiquement touchée par le terrorisme islamiste, au point que la lutte contre le terrorisme est devenue un volet essentiel de notre politique étrangère et de notre politique de défense. Pensez-vous que les accords de coopération, qui peuvent comporter des volets de formation dans le renseignement ou la sécurité, sont adaptés à la réalité du terrorisme ? Ne faudrait-il pas y adjoindre d'autres volets, en particulier celui de la lutte contre le terrorisme ? La France peut-elle continuer seule à lutter sur le terrain ? Sur quels relais pourriez-vous compter ?