Je souhaite dire aux Britanniques, s'ils m'entendent : vous êtes de très bons tacticiens, mais l'heure n'est plus à ces manoeuvres, et nous préférons, dans l'intérêt de tous, une absence d'accord à un mauvais accord. Nous considérons la dernière déclaration en date des Britanniques, le 16 octobre, comme une nouvelle manoeuvre tactique. Les trois sujets de contentieux, pêche, conditions de concurrence et gouvernance, demeurent sur la table. Nous n'avons pas avancé.