Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de renforcer tous les arguments que j’ai avancés contre la chasse à courre. Je vous remercie également d’en apporter de nouveaux, mais la conclusion de votre propos n’est pas à la hauteur de votre sensibilité sur le sujet.
Vous avez énoncé toutes les mesures qui ont été prises pour limiter les dangers de la chasse à courre. Pour dire les choses très franchement, il me semble que, dans notre région, nos préfets et nos gendarmes ont autre chose à faire que de réguler la pratique de la chasse à courre. C’est une perte de temps pour la force publique, une perte de temps pour l’État.
Vous en appelez au dialogue. Si le Gouvernement pouvait avoir le même sens du dialogue quand il s’agit des mesures qu’il prend sur le plan social, ce serait une très bonne chose !