Permettez-moi, madame la secrétaire d’État, de rester inquiet après votre réponse. Certes, il y a des contrôles privilégiés sur les sites Seveso les plus à risque, mais on est toujours en attente de solutions quant aux sites où sont stockées moins de 250 tonnes de nitrate d’ammonium. J’ai effectué une demande dans mon département, mais on n’a aucune visibilité sur ce type de stockage.