Monsieur le secrétaire d’État, je souscris volontiers à l’idée que la télémédecine peut être une solution d’avenir. Néanmoins, elle reste insuffisante pour pallier les besoins d’une population isolée, qui ne maîtrise pas nécessairement les usages du numérique, en plus de souffrir souvent d’une couverture numérique malheureusement encore défaillante.
Résorber les zones blanches est bien la première étape pour développer la télémédecine dans les territoires. Le fait est que les territoires ruraux attendent là encore des avancées qui sont bien tardives.