Monsieur le rapporteur général, j’entends bien votre remarque. Peut-être la commission aurait-elle pu me suggérer plus tôt de rectifier mon amendement, mais peu importe : en l’occurrence, l’argument ne me semble pas vraiment recevable.
Madame la secrétaire d’État, j’entends également votre réponse et je remercie le Gouvernement de l’aide qu’il va apporter au transport maritime. Mais, selon toute vraisemblance, il s’agira d’un soutien ponctuel. Or le pavillon français voit son image entamée et subit un déficit durable : il doit donc bénéficier d’un soutien pérenne.
Je vais maintenir mon amendement, le dispositif gouvernemental figurant déjà, à vous entendre, dans le quatrième projet de loi de finances rectificative.