Nous nous réjouissons réellement de l'avancée que constitue l'instauration des sept jours de congés paternité obligatoires et des vingt-huit jours potentiels. Néanmoins, cela reste insuffisant pour régler la problématique de l'égalité hommes-femmes. Avez-vous des perspectives pour aller au-delà, ou éventuellement pour discuter avec les partenaires sociaux, afin que ces vingt-huit jours soient effectifs ?
La parentalité en milieu professionnel est un chantier intéressant et complexe, et vous avez dit prendre le temps de l'examiner avec la ministre du travail Élisabeth Borne et les partenaires sociaux. Mais le temps presse ! Avez-vous un calendrier à nous proposer ?
Les femmes cheffes de famille monoparentale sont souvent très seules, et elles sont confrontées à la fois à la pauvreté, à la difficulté de trouver des modes de garde adaptés et à l'absence d'accompagnement en cas de conflits avec les enfants. Vous intéressez-vous à cette problématique ?