Je souhaite évoquer le cas des pères qui, en cas de séparation, n'ont pas droit à la résidence alternée, et qui souffrent énormément de cette situation. Vous avez reçu des associations à ce sujet, alors que certains magistrats continuent à ne pas proposer cette organisation lors des séparations. Nous ne sommes pas unanimes sur ce sujet au sein de la délégation, mais je trouve cela important pour les pères de conserver ce lien. Cela suppose bien sûr des contraintes de localisation, liées par exemple à la proximité de l'école. C'est un sujet qui ne doit pas être uniquement abordé sous le prisme de la violence et dans une logique négative. J'aimerais donc avoir votre avis sur le sujet.