Concernant le verre à moitié plein évoqué par le Président, il faut être clair : sans le contrat grec, la chaîne de production aurait dû être fermée. Par ailleurs, ce contrat n'est pas arrivé par hasard. Le MINARM réflechissait à ce scenario pour un éventuel contrat avec la Croatie. Le contrat grec, les perspectives en Croatie et peut-être en Suisse sont de bonnes nouvelles, même s'il faut toujours conserver une certaine vigilance.