Nous partageons évidemment les inquiétudes des auteurs de l’amendement, en particulier en cette période de crise sanitaire. Mais les crédits en question relèvent de l’assurance maladie, et non de l’État. Ils ont été maintenus et permettent de répondre aux besoins.
Toutes les actions de prévention du cancer, en particulier la lutte contre les déterminants de la maladie tels que le tabac, l’alcool ou la sédentarité, ont été poursuivies en direction de la population. En outre, durant le deuxième confinement, contrairement au premier, toutes les consultations ont été maintenues.
Pour toutes ces raisons, le Gouvernement émet un avis défavorable sur cet amendement.