Plus sérieusement, je vous rassure, ces 1, 9 million d’euros sont bel et bien budgétés. Ils permettront de revaloriser la rémunération des internes mis à disposition du centre hospitalier de la Polynésie française, supportée par ce dernier jusqu’en 2019.
Les travaux bilatéraux sur le projet de convention ont dû être reportés à 2021, en raison de la crise sanitaire. Les modalités précises de financement sont sur le point d’être approuvées par l’Assemblée locale.
Il ne faudrait pas que l’adoption de cet amendement remette en cause la conclusion de ces accords.
À mon tour, je sollicite donc le retrait de cet amendement. À défaut, l’avis sera défavorable.