Conclusion : quand on propose aux Français un vaccin connu et sûr, ils se précipitent dessus, surtout quand on risque, le même hiver, d’attraper la grippe et la covid.
Mon pronostic est le suivant : quand nous commencerons la vaccination, après que les Anglais et les Américains l’auront expérimentée depuis un mois, ce qu’il faut craindre, c’est non pas que les doses restent dans les congélateurs, mais que nous peinions à répondre à la demande.